BEN HEINE

 

Bio

Ben Heine est né le 12 Juin 1983 à Abidjan, Côté d'Ivoire. C'est un artiste belge connu surtout pour sa série originale "Pencil Vs Camera", "Digital Circlism" en 2010 et "Fresh & Acrylic" en 2011.

 

Il a vécu 7 ans avec ses 3 soeurs et ses parents à Abidjan. Son père était ingénieur commercial et sa mère professeur de danse. En 1990, ma famille s'installe à Bruxelles. Ben était un enfant difficile et n'aimait pas l'école. Après un séjour dans un pensionnat (Le collège Saint-Vincent, Belgique), il devient plus sage et discipliné. En 1994, il découvre une passion pour le dessin et la peinture. Parmi ces loisirs, Ben aime écrire des poésies, jouer du piano ou à la batterie et pratique des activités sportives (basket, course...). Son intêret pour les arts a toujours été présent dès son plus jeune âge.

 

Il obtient un diplôme en journalisme à l'université de Bruxelles. Il a aussi étudié l'histoire de l'art et de la peinture. Grâce à ses études, il a appris plusieurs langues (français, anglais, néerlandais...) Il aime beaucoup les langues et communiquer avec les gens.

 

Il a effectué plusieurs métiers. Mais ça passion pour l'art est toujours restée présente. Depuis 2006, ses oeuvres ont été publiés dans des journaux célèbres belges et internationaux et ils ont été vu par des milliards d'internautes. Ses oeuvres ont parcourues le monde entier.

 

Interprétation et analyse

Ben illustre ici un pendu accroché à un code barre sur un fond gris. L'image reste assez neutre. Le pendu représente vraisemblablement un homme.Il est suspendu par le cou par une "corde" qui sort du code barre.

 

Dans le commerce, le code barre est une représentation que l'on appose sur des produits. C'est un signe à décoder qui regroupe un certain nombre d'informations comme la dénomination d'un article, son prix...

Le fait de suspendre un homme à cela est assez choquant. On a l'impression que Ben montre une sombre image de la socièté de consommation. Ce désir de tout le temps vouloir acheter ou consommer est en fait néfaste et peut amener l'être humain à commetre l'irréparable. C'est ce que dégage cette image, selon moi.

 

Le code barre est associé au prix. Car en passant à la caisse c'est sur ce dernier que le prix est décodé.

Peut-on ainsi dire également que la vie humaine a un coût que chaque individu doit être en mesure de payer pour ne pas se retrouver "pendu" comme cet homme ? Ou, que face à la flambée des prix ou à la cherté de la vie s'attache un suicide?

 

 

QUIATOL KEVIN STA 2

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :